Sainte Maxime appartint à l’abbaye de Lérins à partir du VIIème siècle.

Après l’occupation sarrasine, vers l’an 1000, les moines donnèrent à la ville, le nom de Maxime, une sainte de leur ordre.

Fille du comte de Grasse, seigneur d’Antibes, célèbre pour sa piété, Maxime prononce ses vœux au monastère de Saint-Cassien. La religieuse devient très vite un modèle pour sa communauté. Elle est choisie pour diriger le monastère de Callian, où elle meurt le 15 mai.

L’abbé de Lérins, saint Nazaire, avait fondé au début du VIIème siècle un monastère féminin affilié à celui de l’île Saint-Honorat, ce fut celui d’Arluc (« Saint-Cassien », à l’ouest de Cannes). Une tradition attribue à saint Aygulphe, un de ses successeurs, la réforme du couvent à la tête duquel il aurait placé Angarisma, originaire, comme lui, de Blois.

C’est là que la fille du comte de Grasse et seigneur d’Antibes, Maxime, célèbre pour sa piété, se consacre et prononce ses vœux. La religieuse devient très vite un modèle pour sa communauté. Elle meurt un 15 mai à Callian où elle aurait dirigé un nouveau monastère.

Reliques

L'église paroissiale de Sainte-Maxime conserve, dans le socle d'un buste reliquaire datant du XVIII e siècle, une côte et un fragment de l'os qui formait la partie supérieure de la tête.

Fête votive (Bravade) à Sainte-Maxime

Une fête qui commémore la mort de Sainte-Maxime, la patronne de la ville. Pendant deux jours, les 14 et 15 mai, des messes et des processions célèbrent la défunte tandis que le son des galoubets et des tambourins cesse rarement. Une bravade, composée du groupe folklorique Lei Magnoti parcourt également la ville et des artilleurs font parler également parler la poudre de leurs tromblons.